Véritable fléau de santé publique, les maladies cardiométaboliques sont en augmentation constante ces dernières années, elles sont la première cause de décès dans le monde. Elles représentent la majorité des maladies non transmissibles (MNT), telles que les maladies cardiovasculaires et le diabète, qui constituent une préoccupation majeure de santé publique mondiale. Les MNT sont responsables de 74% des décès dans le monde.
Malheureusement, elles restent très méconnues du grand public. Par exemple, 62% des Français n’en ont jamais entendu parler. Pourtant, chacun de nous a dans son entourage quelqu’un qui en souffre : diabète de type 2, maladie d’Alzheimer, syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)... Ces maladies nous concernent tous.
Les maladies cardiovasculaires sont à elles seules responsables d’1 décès sur 3 dans le monde, et 1 personne sur 6 souffre d’hypertension artérielle. Le diabète connaît également une forte expansion, avec une augmentation de 46% prévue entre 2021 et 2045. D’autres maladies cardiométaboliques accélèrent silencieusement leur progression, comme la stéato-hépatite non alcoolique (NASH), et sa prévalence devrait augmenter de 63% d’ici 2030.
Les maladies cardiométaboliques ont aujourd’hui un impact majeur et dévastateur sur la santé publique et l’économie. Leur prévention doit être une priorité absolue à l’échelle mondiale.
et les maladies cardiovasculaires. Elles sont la première cause de mortalité dans le monde. Elles ont en commun un biomarqueur fiable et précoce : les BCAA urinaires (acides aminés à chaîne ramifiée). Ce biomarqueur permet de dépister et de mesurer un facteur de risque clé, la résistance à l’insuline (RI).
La résistance à l’insuline touchant jusqu’à 46 % de la population mondiale, est favorisée par plusieurs facteurs :
La détection précoce et la gestion efficace de ces facteurs permettent de réduire significativement le risque de développer des maladies cardiométaboliques.
Il peut être indiqué sur notre site “Maladies cardiométaboliques et maladies cardiovasculaires” cette mention a pour but de faciliter la compréhension des non-professionnels de santé.
Les maladies cardiométaboliques ont en commun un facteur de risque : la résistance à l’insuline (RI). Touchant jusqu’à 46% de la population mondiale, elle est induite par la sédentarité, l’obésité, l’alcool, le tabac, l’hérédité ou encore l’infection au VIH et les Traitements AntiRétroviraux (TARV).
La résistance à l’insuline entraîne une cascade de dysfonctionnements métaboliques qui peuvent aboutir à différentes maladies cardiométaboliques.
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